15 films à regarder pour la Saint-Valentin...

mardi 14 février 2023
cinéma indien films romance st valentin
Joyeuse fête des amoureux ! A l'occasion de cette journée si spéciale on ne pouvait pas passer à côté de l'occasion de vous proposer des romances indiennes savoureuses !

Alors, rien que pour vous, voici 15 films incontournables et absolument parfaits pour ce jour unique, que vous soyez ou accompagné…



Dilwale Dulhania Le Jayenge
Sorti en 1995, Disponible sur Prime Video

Kajol a alors 20 ans, Shahrukh en a 30. C'est leur troisième film commun après Baazigar et Karan Arjun. L'histoire n'a, sur le papier, rien de très inventif : Raj (Shahrukh Khan) est un abruti de première, un fils à papa qui court après les jolies donzelles. Simran (Kajol) est une fille plus traditionnelle, attachée à ses valeurs et à sa famille. Ils embarquent tous les deux pour un circuit à travers l'Europe et, au fil de leurs mésaventures, ils vont apprendre à se connaître et à oublier leur aversion initiale...

Pourquoi Dilwale Dulhania Le Jayenge est-il devenu aussi incontournable ? Parce que c'est dans sa simplicité qu'il a su puiser sa force. Le film est littéralement porté par son couple vedette, et leur alchimie n'a jamais été aussi forte que dans ce métrage. Sorti en 1995, cette première réalisation d'Aditya Chopra est toujours à l'affiche, ayant dépassé en 2014 les 1000 semaines d'exploitation. S'il a longtemps servi d'inspiration à d'autres œuvres, aucun métrage n'est parvenu à atteindre la magnificence de Dilwale Dulhania Le Jayenge. Car les émotions sont là, sans artifice ni surenchère. Dilwale Dulhania Le Jayenge fait partie de ces films dont on connaît les dialogues par cœur, que l'on peut savourer inlassablement, dont on revisionne les scènes avec bonheur et dont les chansons nous restent en tête pendant très longtemps.




Veer-Zaara
Sorti en 2004, Disponible sur Prime Video

Ce qui est fascinant dans Veer-Zaara, c'est le traitement pertinent des relations entre l'Inde et le Pakistan à travers l'histoire d'amour entre l'indien Veer et la pakistanaise Zaara. L’œuvre ne se contente pas de nous tisser une saga romanesque mais fait la lumière sur la complexité du lien entre ces deux pays. Veer et Zaara sont les victimes directes de ce conflit.

Malgré le fait qu'il traite d'un sujet aussi sérieux, Yash Chopra n'a pourtant pas négligé la romance dans son joyau de 2004. L'osmose qui lie Shahrukh Khan à Preity Zinta est surannée, absolument indéfinissable tant elle est belle. Cette dernière a rarement été aussi sublime, aussi impliquée dans son jeu aussi. Ce qui est formidable dans Veer-Zaara, c'est qu'il a su trouver le parfait équilibre entre divertissement et œuvre dénonciatrice. Le spectateur 'lover' pourra le savourer autant que le spectateur engagé. C'est un film qui parle à tous, et dont le message de paix a une portée universelle.




Kuch Kuch Hota Hai
Sorti en 1998, Disponible sur Netflix

Comme son titre l'indique fort bien, quelque chose se passe durant le visionnage de Kuch Kuch Hota Hai. Quelque chose de spécial, de fort et d'inattendu. Quelque chose qui nous dépasse, qui transcende le simple charme ou la coutumière magie. Comme si le spectateur faisait partie de l'histoire, qu'il était l'ami de Rahul ou la copine d'Anjali.

Rahul (Shahrukh Khan) et Anjali (Kajol) sont les meilleurs amis du monde. S'ils se disputent souvent, ils finissent toujours par se rabibocher. Mais le jour où la belle Tina (Rani Mukerji) arrive sur leur campus, Rahul est subjugué par la jeune fille. La distance qui l'éloigne peu à peu de Rahul fait prendre conscience à Anjali des sentiments plus profonds qu'elle nourrit à son égard, hélas à sens unique. Bien des années plus tard, Rahul est veuf et papa d'une petite fille de 8 ans, Anjali (Sana Saeed). Cette dernière reçoit pour son anniversaire une lettre de sa défunte mère lui demandant de réunir Rahul et Anjali... On pleure, on rit, on danse au rythme de Kuch Kuch Hota Hai. Cette première réalisation de Karan Johar est solaire, pleine de bonnes intentions et à la bonhomie communicative. C'est un film généreux, d'où le fait qu'il ait touché autant de gens, en Inde comme ailleurs. Shahrukh Khan et Kajol forment un couple toujours aussi harmonieux, Rani Mukerji est également formidable dans le métrage qui l'a révélé.




Hum Tum
Sorti en 2004

Ici c'est Karan (Saif Ali Khan) qui rencontre Rhea (Rani Mukerji) . C'est loin d'être le coup de foudre, et ils se quittent fâchés. Mais le destin s'en mêle et ils sont amenés à se retrouver à de maintes reprises, dans des lieux et contextes différents. Au fil de leurs retrouvailles subies, ils apprennent à se découvrir et finissent par tisser une forte amitié. Mais Hum Tum est une comédie romantique, donc ça ne s'arrêtera pas là ! Saif Ali Khan et Rani Mukerji forment probablement l'un des couples les plus frais et charmants des années 2000. Ils tourneront par trois fois ensemble (si l'on exclut LOC Kargil). Mais clairement, c'est dans Hum Tum que leur complicité est la plus forte. Ils forment un couple moderne, plein d'humour et pétillant, mais également en capacité d'incarner l'intensité des premiers émois amoureux.

Cette réalisation de Kunal Kohli est absolument brillante, pas tant pour son pitch mais dans la manière dont il fait mûrir et évoluer ses personnages. Karan passe ainsi du Don Juan puéril à l'ami protecteur, Rhea passe de la jeune fille arrogante à la veuve désorientée. On s'attache à ces héros qui, au rythme de leurs rencontres, vont se découvrir eux-mêmes pour devenir meilleurs. Hum Tum fait surtout partie de ces films indiens que l'on aime regarder comme une romcom américaine, avec le pot de glace entre les mains et la couverture sur les genoux. C'est un film merveilleux qui n'a pas pris une ride.




Ishaqzaade
Sorti en 2012

Il met en scène deux jeunes acteurs, qui ont alors tout à prouver : Arjun Kapoor et Parineeti Chopra. Ces derniers illustrent une sempiternelle histoire d'amour entre un hindou (Parma Chauhan) et une musulmane (Zoya Qureshi). Pourtant, Ishaqzaade possède quelque chose en plus, un quelque chose de tellement différent qu'il en devient unique. Ce qui est remarquable dans Ishaqzaade, c'est la tension ambiante entre les deux personnages. Chez eux, tout est intense et passionné, aussi bien l'amour que la haine. Ils se détestent avec force avant de s'aimer avec hargne. Ce jeu entre attraction et répulsion est aussi fascinant qu'inédit, et maintient le spectateur en suspens quant au dénouement de la relation entre Parma et Zoya.

Et alors qu'on croît que l'intrigue suivra des sentiers narratifs plus linéaires et convenus, le réalisateur Habib Faisal nous prend au dépourvu en relançant son histoire dans un sens que l'on ne soupçonne pas. Porté par son couple principal, dont la jeunesse apporte toute la vivacité et l'insouciance à Parma et Zoya, Ishaqzaade fait partie de ces romances indiennes aussi réalistes que distrayantes.




Vinnaithaandi Varuvaaya
Sorti en 2010

Avec Simbhu et Trisha Krishnan, cette réalisation de Gautham Menon est des plus réussies. Sa photographie, sa musique et sa distribution en font l'un des films les plus précis et les plus soignés de Kollywood. L'histoire est pourtant simple : Karthik (Simbhu) voit Jessie (Trisha Krishnan). Karthik craque pour Jessie. Karthik fait une cour assidue à Jessie. Jessie tente de résister à Karthik. Jessie finit par craquer pour Karthik... Mais il est hindou et elle est chrétienne.

Ce n'est pas tant dans son écriture que le film se démarque, mais dans le jeu de ses comédiens, juste impeccables. Simbhu démontre toute sa vulnérabilité et toute son innocence. Trisha incarne la beauté froide par excellence, à l'image des actrices hollywoodiennes des années 1950. Bref, que du bonheur !




Nuvvostanante Nenoddantana
Sorti en 2005

Vous êtes nombreux à avoir adoré Ramaiya Vastavaiya, avec Shruti Haasan et Girish Kumar. Et bien, il s'agit du remake hindi de Nuvvostanante Nenoddantana. Avec Siddharth Narayan et Trisha Krishnan dans les rôles principaux, cette romance télougoue s'inspire grandement de deux succès hindi de Salman Khan : Maine Pyaar Kiya (1989) et Pyaar Kiya Toh Darna Kiya (1998). Santosh (Siddharth) est immigré et revient en Inde pour le mariage de sa cousine. Sur place, il rencontre une belle villageoise, Siri (Trisha Krishnan), dont il tombe éperdument amoureux. Mais la famille de Santosh ne voit pas cela d'un très bon œil et insulte Siri et son frère. Santosh entreprend donc de convaincre le frère de Siri de sa bonne foi. C'est ainsi que le jeune homme, citadin de première, va s’atteler aux travaux de la ferme pour montrer sa détermination et surtout la force de son amour...

C'est léger, c'est plein de bonnes intentions et c'est surtout romantique sans être sirupeux. Nuvvostanante Nenoddantana constitue une romance des plus agréables, des plus aériennes aussi. On le regarde comme un rêve, nourri par de jolies chansons et de magnifiques paysages. La complicité entre Siddharth et Trisha est remarquable et contribue à la magie de l’œuvre.




Devdas
Sorti en 2002

C'est probablement l'un des films indiens les plus populaires en France, de ces films qui ont contribué à faire connaître le cinéma hindi dans l'Hexagone à travers le visage d'ange de la sublime Aishwarya Rai, mais pas que... Basé sur le roman de l'auteur bengali Sarat Chandra Chatterjee, ce film de Sanjay Leela Bhansali s'appuie sur une mise en scène grandiloquente, magnifique et somptueuse. Il est surtout porté par trois acteurs d'anthologie : Shahrukh Khan, Aishwarya Rai et Madhuri Dixit.

Shahrukh titube ici entre deux femmes superbes, deux icônes du cinéma indien qui, en plus d'être d'excellentes actrices, sont des danseuses hors-pair. Aishwarya Rai et Madhuri Dixit sont les deux stars de l’œuvre, qui mettra un peu plus en lumière leur talent et leur incroyable aura. Shahrukh se sort quant à lui de ses rôles d'amoureux lisses pour camper cet homme devenu ivrogne par amour. Romance bouleversante et sublime, Devdas fait partie de ces films que l'on vous conseillera dans votre découverte du cinéma indien, comme un passage obligé, une référence à laquelle on comparera de nombreux autres métrages sans qu'ils ne parviennent jamais à l'égaler.




Sanam Teri Kasam
Sorti en 2016, Disponible sur ZEE5

Sanam Teri Kasam, c'est la pépite romantique de l'année 2016, mais aussi sûrement de la dernière décennie. Pour la porter, deux débutants inconnus au bataillon : l'actrice pakistanaise Mawra Hocane et le comédien Harshvardhan Rane. Un métrage dirigé par le duo Radhika Rao et Vinay Sapru, qui nous a livré le poétique Lucky - No Time For Love mais aussi le lamentable I Love NY… Difficile donc de prévoir le bijou qui nous attend ! L'histoire est pourtant vieille comme le monde : un 'bad boy', tout juste sorti de prison répondant au nom de Inder (harshvardhan Rane) tombe follement amoureux d'une bibliothécaire inhibée au look peu assuré, Saru (Mawra Hocane). Elle le voit comme un ami et l'investit comme tel alors qu'elle enchaîne les déceptions. Mais les sentiments qu'ils nourrissent l'un pour l'autre vont bientôt se révéler de plus en plus forts...

Rien d'exceptionnel dans ce film, rien de vraiment novateur dans son histoire. Pour autant, il s'agit là d'un des plus beaux drames romantiques de ces dernières années, entre cœur brisé et coups du sort, entre amour éternel et fatalité... Ce qui marque particulièrement dans Sanam Teri Kasam, ceux sont ses héros. Parce qu'on dépasse les archétypes du beau gosse sombre et du vilain petit canard devenu cygne. Parce que Saru et Inder nous bouleversent par leur sensibilité. Parce que c'est une histoire d'amour entre deux écorchés vifs, entre deux âmes blessées qui puisent en l'autre la force de croire en la vie, dans le fait d'aimer et d'être aimé. Sanam Teri Kasam n'est pas une romance flamboyante. Elle est au contraire ancrée dans une réalité bien terne, où seul l'amour sincère vient apporter la couleur et la poésie pour donner du relief aux vies de Saru et Inder.




Thattathin Marayathu
Sorti en 2012

Vinod (Nivin Pauly) est hindou. Il tombe amoureux d'une jolie musulmane, Aisha (Isha Talwar). Mais comme dans tout film indien qui se respecte, les relations inter-religieuses sont rejetées, les amants doivent ainsi établir des stratagèmes pour sauvegarder leur amour. Nivin Pauly porte clairement ce film magnifique, notamment grâce à sa belle complicité avec Isha Talwar, dont c'est le premier film. A travers Thattathin Marayathu, on découvre un style propre à l'industrie malayalam. Une manière de filmer, d'écrire et d'incarner que l'on ne retrouve nulle part ailleurs.

La sincérité de l'amour entre Vinod et Aisha est bouleversante, la façon dont leur relation est portée à l'écran est saisissante. On est captivé par la beauté des plans, la proximité de la caméra avec ses héros et sa capacité à capter leurs émotions pour mieux nous les transmettre.




Vivah
Sorti en 2006, Disponible sur ZEE5

Sooraj R. Barjatya est coutumier de ces romances traditionalistes, ancrées dans leur terroir et attachées à leur identité nationale. Avec Vivah, on parle de mariage. On parle d'honneur. On parle de pudeur. Prem (Shahid Kapoor) est en âge de se marier. Son père souhaite qu'il épouse une jeune fille de milieu modeste, mais dont il est sûr qu'elle fera la bru idéale : Poonam (Amrita Rao). Prem et Poonam se rencontrent pour la première fois le jour de leurs fiançailles, et tissent un lien très fort à partir de ce jour, jusqu'à celui de leur mariage...

Voilà ce qu'on peut appeler un film de l'ordre du contemplatif : on voit les héros être heureux et s'épanouir durant plus de deux heures, avant qu'ils ne soient frappés par un élément perturbateur à 30 minutes de l'épilogue. C'est la marque de fabrique de la maison Rajshri, toujours aussi efficace. Dans Vivah, les personnages sont beaux, purs et irréprochables. L'amour de Prem et Poonam est pieux et sincère. C'est le genre de films à voir en famille, comme pour rappeler aux indiens leurs racines.




Jab We Met
Sorti en 2007

Jab We Met, c'est la romance indienne moderne comme on l'aime, qui évolue sans oublier son folklore. Œuvre à petit budget, Jab We Met est réalisé par Imtiaz Ali, alors peu connu du grand public. On a ici droit à un road-movie romantique et positif, avec Kareena Kapoor et Shahid Kapoor en têtes d'affiche. Aditya (Shahid Kapoor) fait une grosse déprime. Son père vient de mourir et, cerise sur le gâteau, celle qu'il aime va en épouser un autre. Aditya fait donc une très grosse déprime, à tel point qu'il entre dans le premier train qui passe, sans réfléchir, errant comme une âme en peine. Mais il s’assoit à la place de la dynamique Geet (Kareena Kapoor), avec laquelle il va se retrouver embarqué dans un périple inattendu.

Jab We Met, c'est la fraîcheur, la douceur et l'optimisme. C'est le romantisme qui ne tombe jamais dans le mélodrame, dans le misérabilisme. C'est le romantisme qui rend les gens meilleurs, qui les rend plus mûrs, plus généreux, plus altruistes. Shahid et Kareena partagent une complicité incroyable, malgré le fait qu'ils se soient séparés au début du tournage. Au même titre qu'un Dilwale Dulhania Le Jayenge, Jab We Met nous charme en toute humilité, sans prises de vue tape-à-l’œil ni mises en scène surfaites.




Manmarziyaan
Sorti en 2018, Disponible sur ZEE5

Cette romance singulière est signée par nul autre qu'Anurag Kashyap, dont le style et l'identité artistique sont tels qu'ils donnent du cœur à ce métrage savoureux. Rumi (Taapsee Pannu) est follement amoureuse du tempétueux Vicky (Vicky Kaushal), un DJ explosif qui a du mal à lui donner ce qu'elle veut : de l'engagement. C'est ainsi qu'elle accepte un mariage arrangé avec l'adorable Robbie (Abhishek Bachchan), qui n'a d'yeux que pour elle. Mais elle ne peut oublier Vicky, qui refait soudain surface dans sa vie…

Manmarziyaan, c'est en quelque sorte le cousin rock'n'roll du Hum Dil De Chuke Sanam de Sanjay Leela Bhansali. La réalisation créative d'Anurag Kashyap, la musique décadente d'Amit Trivedi auxquelles s'ajoutent les prestations exceptionnelles de Taapsee, Vicky et Abhishek… Tout cela forme un cocktail détonant qui saura ravir vos âmes de romantiques tout en vous surprenant.




Band Baaja Baaraat
Sorti en 2010

Cette romcom de la maison Yash Raj Films met sur le devant de la scène la lumineuse Anushka Sharma, révélée par la société de production deux ans plus tôt avec Rab Ne Bana Di Jodi. Mais elle marque également les débuts au cinéma d'un acteur désormais incontournable : Ranveer Singh. Bittoo Sharma (Ranveer Singh) et Shruti Kakkar (Anushka Sharma) sont organisateurs de mariage. Ils s'occupent de concrétiser le plus beau jour de la vie de centaines de couples. Leur réputation est telle qu'ils commencent à se faire un véritable nom dans le domaine. Mais cette ascension aura-t-elle raison de leur amour naissant ?

Ce premier film de Maneesh Sharma est d'un dynamisme et d'une efficacité redoutables ! La bande-son de Salim-Suleiman, le scénario ciselé d'Habib Faisal et la complicité qui lie Anushka et Ranveer font de ce film modeste une totale réussite ! Regardez ce métrage pour une soirée feel-good et optimiste, et pour danser sur des rythmes endiablés qui restent en tête !




Akaash Vani
Sorti en 2013

Ce drame romantique de Luv Ranjan, plutôt habitué aux films misogynes et abrutissants, est clairement l’exception de sa carrière. Le métrage porte effectivement un message fort sur les mariages forcés et leurs conséquences, en plus de raconter une histoire d’amour tendre et sincère. Akaash (Kartik Aaryan) et Vani (Nushrat Bharucha) sont étudiants dans la même université. Ils se lient rapidement d’amitié et appartiennent à la même bande de potes. Le temps passant, des sentiments de plus en plus forts lient nos deux héros. Sauf que le père de Vani ne l’entend pas de cette oreille, et a déjà arrangé son mariage avec un autre…

Là où l'on aurait pu s’attendre à une trame semblable à celle d’un Dilwale Dulhania Le Jayenge, où le protagoniste tente de convaincre le père de sa belle qu’il est à la hauteur, Akaash Vani nous prend de court et emprunte un sillage bien différent. Sans trop vous en dire, Akaash Vani est un visionnage parfois compliqué, mas tellement rafraichissant dans le schéma des comédies romantiques indiennes habituelles. En espérant qu’un jour, Luv Ranjan revienne à de telles œuvres…



mots par
Asmae Benmansour-Ammour
« Quand Nivin Pauly a dit mon prénom, je ne m'en souvenais même plus moi-même. »
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