24 avril 2017

S’il y a une chose que je retiens de la promotion d’
Aiyyaa, datant de 2012, c’est son extravagance. Les scènes apparaissent colorées, l’ambiance loufoque et
Rani Mukherji plonge dans une comédie avec un naturel qui ne m’étonne même pas de sa part. Cependant, je n’avais jamais eu l’occasion de regarder le film. Qui aurait cru que je pourrais enfin le voir en 2017, dans ma ville lors du
Festival des Cinémas Indiens de Toulouse et en plus de ça, sur grand écran en version sous-titrée en français !