Fatima-Zahra El Ahmar
Co-fondatrice, investigatrice et rédactrice
Avec un parcours d’Ingénieur informatique sous le bras (le terme est large pour décrire très brièvement un monde tout aussi vaste que le cinéma indien), Fatima-Zahra El Ahmar se souvient encore des discussions en 2009, qui ont mené à la création de Bolly&Co. Avec une de ses amies virtuelles (à l’époque), Elodie Hamidovic, elle a partagé d’innombrables délires autour de cette passion commune. Et ainsi va la vie, et ainsi l’aventure commence. Qui pensait que cela s’inscrirait dans la durée, mais surtout avec (sans vouloir jeter des fleurs à toute l’équipe) qualité ! Après tout, aucun membre du trio final n’est de formation journalistique. Seule l’envie et la passion dirigent. Et sa passion à elle, Fatii pour les intimes, c’est l’esprit critique. Aimer ce qui est souvent moins populaire, car ce sont souvent ces petits bijoux de films inattendus qui rajoutent au charme de ce vaste répertoire cinématographique. Alors non, Fatii n’aime pas les films romantiques ni les masala à outrance. Mais est-ce que cela empêche la magie d’opérer ? Absolument pas.
Décortiquer, analyser, trouver une logique là où il y en (parfois) aucune, c’est son dada ! Malgré un quotidien un peu plus compliqué (on en a certainement tous, et en ces temps, plein de courage pour tous ceux qui nous lisent/suivent), ce qu’elle n’hésitera pas à faire, c’est continuer à creuser, s’informer et s’éduquer pour construire les investigations à lui torturer les méninges ; dans le sens positif du terme, obviously ! Et puis, plus encore… affaire à suivre.
Fatima-Zahra et le cinéma indien :
Son premier film ? Kuch Kuch Hota Hai. Comme beaucoup millennials sans doute. A vrai dire, c’est son premier film visionné au complet. A l’époque, des films indiens étaient diffusés chaque vendredi après-midi, et elle se souvient vaguement de quelques décors particuliers aux années fin 80/début 90. Trois films qu’elle adore : Kahaani, Black, Zindagi Na Milegi Dobara. Trois films qu’elle adore, mais on dirait bien qu’elle est seule au monde : Jannat 2, 404 Error not found, Vicky Donor.
Et en dehors du cinéma indien ?
Elle a été bercée par les telenovelas à l’Amérique Latine, d’où elle a récupéré une appréciation pour la musique tout en tempo (ne me parlez juste pas de Bad Bunny, please…). Elle regarde aussi beaucoup de films et séries, dans la recherche d’originalité continuelle.
PS : ne surtout pas engager le débat « Mais il/elle est canon! » sur un acteur ou actrice qui ne dégage aucune émotion, à part le fait que ça soit de l’eyecandy. Pitié.
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